Qualités d’un estimateur de dommages automobiles hors pair

Imaginez la scène : une collision légère impliquant une vieille voiture et un poteau d’Hydro-Québec. Rien de bien grave, aucun blessé sauf le poteau, mais on compte un capot avant enfoncé et un pare-brise endommagé. Il va falloir faire de sérieuses réparations à la carrosserie de la vieille voiture.

Qui appeler? Un garagiste, bien sûr, mais le conducteur doit aussi penser à son assurance et au coût de la réparation. C’est là que l’estimateur en dommages automobiles entre en scène, car c’est lui qui sera chargé d’évaluer le coût et la durée de la réparation du véhicule. Disposant de grandes connaissances techniques, il sera en mesure de superviser la réparation d’un véhicule. Il sera également chargé de faire le lien avec la compagnie d’assurance du conducteur, et de remplir les rapports d’évaluation.

Une carrière lucrative et un secteur en pleine croissance

Les estimateurs en dommages automobiles ont l’option d’être leurs propres patrons, et les possibilités d’emploi dans leur domaine sont très bonnes. Avec une bonne formation en poche, un estimateur peut choisir de travailler chez un concessionnaire, une compagnie d’assurance, ou dans un atelier de réparation de carrosserie, et peut se spécialiser selon un type de véhicule.

De plus, le Québec connaît une pénurie de conseillers en carrosserie, et les postes à combler sont nombreux, non seulement à cause du départ à la retraite des baby-boomers, mais aussi parce que c’est une industrie en constante croissance. L’estimation de dommages est également une carrière lucrative dont le salaire moyen est d’environ 45 000 $ par année, et qui peut monter jusqu’à 75 000 $ selon l’expérience et les compétences.

Que faut-il donc pour devenir un excellent estimateur de dommages automobiles?

– un excellent sens de l’observation et du détail

– un esprit analytique

– une connaissance hors pair des normes d’évaluation des assureurs du Québec

– une bonne capacité à évaluer les coûts de la main-d’œuvre et des pièces

– une parfaite maîtrise de la mécanique automobile et du fonctionnement d’un atelier de carrosserie

C’est là qu’une formation solide est cruciale. Des cours bien structurés dans une école réputée sont essentiels. La formation d’estimateur de dommage automobile se doit d’inclure les procédures spécifiques aux compagnies d’assurance, et les techniques d’évaluation de coûts (main-d’œuvre et pièces) et de durée des réparations. Il est également important que la formation tienne compte des progrès technologiques dans le domaine et comprenne l’utilisation de logiciels comme Audatex et la production de rapports d’évaluation informatisés.

Tout comme un cours aviseur technique, la formation d’estimateur de dommages doit donner aux élèves une excellente base en mécanique automobile, en carrosserie et en contrôle de la qualité, puisque les estimateurs seront en charge de la supervision des réparations sur un véhicule.

Contactez l’École de l’Automobile dès aujourd’hui pour plus de renseignements sur sa formation en estimation de dommages et ses cours de mécanique automobile.

 

Source: http://www.dmoz.fr/formation/qualites-dun-estimateur-de-dommages-automobiles-hors-pair/

Les avantages des salons de l’auto pour les étudiants en mécanique

Les raisons de vous rendre dans le salon automobile de Montréal ou de Québec semblent évidentes: vous aimez les belles voitures, et vous voulez être au courant des nouveautés. Mais ces événements peuvent vous apporter beaucoup plus. Lisez pour savoir comment rentabiliser votre visite au maximum.

 

1. Le réseautage

Avec plus de 180 000 visiteurs cette année au salon de Montréal, et 65 000 personnes attendues au salon de Québec, ces événements sont une manne de contacts potentiels. Concessionnaires, assureurs, vendeurs, chefs d’entreprises, garagistes, corporations… Autant de personnes qui peuvent vous renseigner sur le métier de vos rêves, ou même qui ont des besoins de recrutement. Alors un conseil : préparez quelques CV / cartes de visite avant de vous rendre au salon!

Différents moyens permettent d’approcher toutes ces personnes :

– Faites le tour des kiosques.

– Participez aux événements et activités proposés par les salons – et dans la file d’attente, pourquoi ne pas entamer une conversation avec ceux qui vous entourent ?

– Renseignez-vous pour savoir si le salon propose des activités de recherche d’emploi – c’est le cas du salon de Québec, qui présente une zone Carrière des métiers de l’automobile.

2. Les autres secteurs de l’industrie

Ce qui nous attire dans ces salons, ce sont surtout les belles voitures, les primeurs, les nouveautés, les expositions de véhicules historiques, etc. C’est beau, ça brille, c’est nouveau. Mais l’industrie automobile ne se réduit pas à la construction de voitures, surtout au Québec. La province compte 600 entreprises de fournisseurs de pièces. Et cette activité comporte tout autant d’innovations technologiques que la construction de voitures. Même si vous n’êtes pas commis aux pièces, ne négligez pas ces exposants lorsqu’ils sont présents. Quel que soit votre métier, le savoir et la curiosité font la différence.

 

3. Les petits plus

Renseignez-vous sur toutes les activités des salons. Outre des opportunités de réseautage, elles peuvent vous apporter des connaissances ou représenter des entrainements pratiques. Un exemple : le kiosque de la Sûreté du Québec au Salon de l’auto de Montréal en janvier dernier.

La SQ exposait une Camaro qui avait subi un accident réel. Cela était un excellent exercice pour futur estimateur encore en école de mécanique automobile, d’autant que c’était l’occasion de discuter avec des professionnels. L’objectif était de montrer la reconstitution de l’accident pour l’autopsier, et sensibiliser sur les causes. Cette activité montrait également que l’état d’usure et le manque d’entretien du véhicule était en cause. Une occasion d’échanger sur les responsabilités des ateliers de mécanique automobile.

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Source: http://www.dmoz.fr/formation/les-avantages-des-salons-de-lauto-pour-les-etudiants-en-mecanique/

Passionné d’auto? Avez-vous pensé à une carrière dans l’industrie de l’automobile?

Avec presque six millions de véhicules en circulation au Québec, les collisions restent malheureusement chose commune. C’est pourquoi les possibilités d’emploi en mécanique et en estimation de dommages automobiles sont excellentes. L’industrie des services automobiles du Québec représente 10 500 entreprises et emploie plus de 162 000 travailleurs.

Si la mécanique et la technologie vous intéressent, que vous souhaitez entamer une carrière prometteuse dans un secteur en pleine effervescence, et que le secteur automobile vous attire, une formation complète est un atout majeur pour votre succès.  Ces formations sont généralement disponibles pour les étudiants de 18 ans et plus qui souhaitent parfaire leurs connaissances dans le secteur automobile. Une école réputée sera en mesure d’offrir une formation solide aux élèves, mais également de les aider une fois venu le temps d’intégrer le marché du travail.

Voici quelques exemples de carrières intéressantes :

Conseiller aux opérations

Les conseillers aux opérations sont des employés essentiels dans les ateliers de réparation, concessionnaires automobiles, et autres entreprises liées au secteur de l’automobile. Les conseillers au service sont en charge de s’occuper du client et de veiller à la réparation ou l’entretien de son véhicule. Les conseillers en carrosserie inspectent les véhicules accidentés, préparent les estimés et supervisent la réparation. Enfin, les conseillers aux pièces commandent, reçoivent, envoient, identifient, répertorient et vendent des pièces automobiles. Une formation de conseiller aux opérations est donc extrêmement polyvalente et complète.

Mécanicien automobile

 

Professionnel qualifié, le mécanicien est celui qui connaît l’intérieur et l’extérieur d’un véhicule, du châssis aux composantes mécaniques, comme le fond de sa poche.  Formé en mécanique, mais aussi en relations client et en informatique, il est en mesure de diagnostiquer, analyser, réparer et remettre en état tous types de véhicules. Les possibilités d’emplois pour un mécanicien automobile qualifié sont grandes, allant du secteur privé dans les garages ou les concessionnaires, à la fonction publique au sein d’organismes comme Transports Québec.

 

 

Estimateur de dommage automobile

Polyvalent et efficace : si ces mots vous décrivent, une carrière d’estimateur de dommage automobile vous conviendrait peut-être. La formation en estimation de dommages automobiles offre de multiples facettes, de l’utilisation de logiciels comme Audatex à la mécanique complexe. Les estimateurs peuvent trouver des postes dans des compagnies d’assurances et des ateliers de réparation d’automobiles tout comme dans des concessionnaires de véhicules neufs ou usagés.

Aviseur technique

Bon vendeur ayant d’excellentes aptitudes en communication interpersonnelle, l’aviseur technique se charge de faire le lien entre le client et le mécanicien. C’est lui qui conseille et guide le client chez des concessionnaires, dans des ateliers de réparation ou de carrosserie, et des centres d’estimation de véhicules. Un cours aviseur technique sera en mesure de former les futurs aviseurs en relations avec le client, en gestion et en comptabilité.

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Source: http://www.dmoz.fr/formation/passionne-dauto-avez-vous-pense-a-une-carriere-dans-lindustrie-de-lautomobile/

La mécanique automobile, une formation accessible et une carrière lucrative!

On parle beaucoup ces temps-ci au Québec des universités, de leur rôle et surtout de leur financement. On oublie par contre que ce n’est pas tous les jeunes élèves qui souhaitent aller à l’université, et que beaucoup de professionnels sont formés dans des écoles spécialisées qui offrent une formation plus courte et plus concentrée dans divers domaines, de l’infirmerie au graphisme en passant par le cirque et l’ébénisterie.

La mécanique automobile est l’un de ces domaines où une formation universitaire n’est pas requise. Les formations en mécanique automobile sont ouvertes aux jeunes de 18 ans et plus qui veulent parfaire leurs connaissances et acquérir les compétences nécessaires pour occuper une multitude d’emplois.  Ces formations sont généralement courtes et concentrées afin de maximiser l’apprentissage.

 

Pourquoi une carrière dans l’industrie automobile ?

L’industrie automobile est un secteur en plein développement, qui connaît présentement une pénurie de conseillers et de techniciens compétents. Grâce notamment au développement technologique et à la croissance du pouvoir d’achat des Québécois, les ventes de véhicules et des services qui y sont rattachés sont en constante augmentation. Le départ à la retraite des baby-boomers crée également une situation dans laquelle la demande pour de nouveaux travailleurs est à la hausse.

Les salariés du secteur automobile ne sont certainement pas à plaindre non plus : un estimateur de dommages automobiles, par exemple, peut gagner de 40 000 à 75 000 $ par année, selon son expérience et ses compétences.

 

Pourquoi choisir une formation dans une école spécialisée?

Les écoles dites de métier sont adaptées aux besoins variés de ses étudiants, et ils y trouvent de nombreux avantages, tels que des horaires flexibles, des options de financement intéressantes, des services de placement post diplôme, une formation adaptée aux réalités du marché local et un réseau à l’intérieur du marché. Les professeurs sont souvent actifs dans leur milieu et sont en mesure d’adapter leurs cours selon l’évolution des technologies. Une formation dans une école de mécanique automobile reconnue ajoute également du poids à n’importe quelle candidature.

Quels types d’emplois sont ouverts aux gradués d’une école de mécanique ?

Grâce à une formation solide en mécanique et une excellente connaissance du marché local, le diplômé d’une école de mécanique réputée peut occuper un poste en tant que commis aux pièces, estimateur en dommages automobiles, aviseur technique, ou conseiller en opérations, et ainsi travailler dans un éventail d’entreprises rattachées au secteur automobile. Au privé, un diplômé peut choisir de travailler dans un garage ou un centre de réparation de véhicule, chez un concessionnaire de voitures neuves ou usagées, ou dans un magasin indépendant. Dans la fonction publique, le diplômé pourrait occuper un poste dans des organisations comme Transports Québec.

Avec une bonne formation en poche, un jeune diplômé peut facilement intégrer le marché du travail, et le secteur automobile regorge d’opportunités intéressantes et lucratives pour ceux qui ont une vraie passion pour la mécanique automobile.

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Source: http://www.dmoz.fr/formation/la-mecanique-automobile-une-formation-accessible-et-une-carriere-lucrative/

Fiche métier : estimateur de dommages automobiles

Métier

L’estimateur en dommages automobiles est un observateur minutieux, et un enquêteur rigoureux. Il doit repérer les dommages causés aux véhicules lors de collisions, déterminer la manière dont ils ont été causés et évaluer les réparations nécessaires de manière juste. Il a donc un rôle primordial, qui a un impact pour les victimes comme pour les assurances. Voici une liste de responsabilités types d’un estimateur :

– inspecter minutieusement le véhicule sous tous ses angles ;

– analyser les dommages ;

– déterminer le type de réparations, leur coût et le temps nécessaire pour les effectuer ;

– calculer l’option la moins coûteuse (ce n’est pas nécessairement la réparation) ;

– remplir les rapports d’évaluation selon les normes du Groupement des assureurs automobiles du Québec (GAA).

Il est donc au centre des différentes parties prenantes lors d’un accident.

 

Qualités essentielles

Les victimes et les assurances n’ont pas toujours les mêmes attentes. L’estimateur en dommages doit être juste et objectif. Pour y arriver, il possède une excellente connaissance de la mécanique d’un véhicule, de la carrosserie jusqu’aux composants électroniques. Ses qualités humaines sont également importantes. Voici un résumé du type de profil idéal :

– connaissances techniques excellentes

– bonnes capacités de recherche et d’analyse

– aptitudes pour la résolution des problèmes

– aptitudes en communication, empathie

– grand sens de l’observation

– rigueur, objectivité et sens du jugement

– compétences informatiques et en rédaction

– Le métier d’estimateur de dommage automobile est exigeant. Il faut savoir résister à la pression, et connaitre les moindres composants d’un véhicule aussi bien qu’un commis aux pièces.

 

Perspectives et principaux débouchés

Les débouchés sont très variés. L’estimateur peut travailler à son compte, pour une compagnie d’assurance, une entreprise de location de véhicules ou pour des concessionnaires. Selon les régions du Québec, les perspectives sont plutôt favorables. Malheureusement, malgré les efforts du gouvernement et les innovations technologiques de prévention des accidents, des collisions se produisent toujours. Un estimateur qualifié, rigoureux et humain reste donc un allié précieux.

Salaires et évolutions

La fourchette de rémunération des estimateurs est très large. Cela est dû à la variété d’employeurs potentiels. Mais un débutant sortant d’une école de mécanique automobile peut espérer gagner autour de 33 000 $ par an. Un expert confirmé touchera jusqu’à 70 000 $ par an.

En termes d’évolutions, un estimateur peut bien sûr changer de type d’employeur, passer d’un assureur à un concessionnaire par exemple. Mais il peut aussi se lancer en tant qu’autonome, ou accéder à des fonctions de direction d’équipe. De nos jours, les véhicules comportent de plus en plus de composants électroniques, dont certains sont comme des boites noires qui peuvent éclairer les raisons de l’accident. Une formation continue est donc une bonne idée pour les estimateurs souhaitant rester à la pointe des technologies actuelles.

 

 

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Source: http://www.dmoz.fr/formation/fiche-metier-estimateur-de-dommages-automobiles/

Fiche métier : aviseur technique

Métier

Le rôle de l’aviseur technique est primordial. Il coordonne en effet la relation entre le client et l’équipe technique de l’atelier ou du garage. Il accueille le client, écoute et analyse le problème, puis génère une feuille de route détaillant la planification et l’estimation des travaux. Voici une liste des tâches qu’il accomplit au quotidien :

– accueil de la clientèle ;

– écoute et analyse des besoins des clients, explication des réparations nécessaires;

– planification des réparations;

– vente de différents services : après-vente, services de prévention;

– tâches administratives et comptables;

– transfert des informations entre les techniciens et les clients;

– entretient la relation avec les clients et les fidélise;

Qualités essentielles

C’est un poste pour lequel les compétences en communication sont aussi importantes que les connaissances techniques. Le conseiller technique doit en effet pouvoir expliquer les réparations à ses clients. De plus, il doit prendre en compte dans la planification des travaux de nombreux critères, comme la charge de travail de l’atelier, la durée des différentes réparations, etc.

Ses compétences et qualités essentielles sont donc:

– bonnes qualités de communication, oralement et à l’écrit

– brandes compétences en organisation et planification

– connaissances techniques des véhicules et réparations possibles

– esprit analytique

– entregent et aptitudes pour la vente

– parler anglais peut être un plus

 

Perspectives et principaux débouchés

Les possibilités d’emplois sont excellentes au Québec. En effet, l’industrie connaît présentement une pénurie de conseillers au service qualifiés. Les étudiants suivant actuellement des cours d’aviseur technique ont donc de bonnes chances de décrocher un emploi dès la fin de leur formation. Les compétences transversales nécessaires font que de nombreuses structures ont besoin de conseillers qualifiés, notamment:

– les concessionnaires d’automobiles

– les ateliers de réparation générale et de carrosserie

– les ateliers de chaînes de magasins de détail

– les commerces de véhicules légers usagés

– les centres d’estimation de véhicules, ou vous collaboreriez avec des estimateurs de dommage automobile

Salaires et évolutions

Le salaire moyen d’un conseiller technique au Québec tourne autour de 20 000 $/ 25 000 $ à l’entrée sur le marché du travail. Avec de l’expérience, il monte entre 35 000 $ et 45 000 $.

Un aviseur technique démontrant de très bonnes compétences en vente et une maitrise des connaissances techniques peut évoluer vers des postes à responsabilité, comme conseiller commercial ou même gérant du service. Son salaire augmentera en conséquence. De plus, les métiers de types commerciaux peuvent souvent bénéficier de commissions, comme c’est le cas pour les commis aux pièces.

Si vous aimez le milieu de la mécanique automobile, l’aspect technique, l’ambiance des ateliers et des garages mais que vous voulez être en contact direct avec votre clientèle, alors un poste d’aviseur technique vous correspondrait bien. Si en plus vous êtes organisé et bon communicant, vous devriez sérieusement considérer ce métier. Avec les départs à la retraite prévus, les besoins vont augmenter au Québec. C’est un bon moment pour vous lancer !

 

 

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Source: http://www.dmoz.fr/formation/fiche-metier-aviseur-technique/