Archives Mensuelles: octobre 2012

Réussir son entrevue en mécanique automobile

Vous venez d’obtenir un entretien en vue d’obtenir un poste en mécanique automobile ? Félicitations! Maintenant, la règle d’or pour réussir son entrevue est de s’y préparer. Il est étonnant de voir le nombre de candidats qui pensent que leur expérience, et uniquement leur expérience, parlera d’elle-même.

 

Il vous faut faire des recherches  sur votre potentiel employeur, qu’il soit manufacturier automobile, garagiste, concessionnaire ou firme d’ingénierie. Prenez le temps de parcourir son site internet, et si possible, de consulter ses bilans annuels.

 

S’informer à propos de la compagnie avant l’entrevue

Que connaissez-vous de notre entreprise ?  est une question des plus posées en entrevue et la qualité de votre réponse jouera beaucoup sur votre embauche ou non. Bien sûr, il y a beaucoup d’emplois disponibles dans le secteur automobile, mais les compagnies sont tout aussi diversifiées et vous devez démontrer votre intérêt pour les spécificités de votre futur employeur – à savoir sur quels types de véhicules il travaille, quels sont ses processus opérationnels ou les services qu’il offre.

 

Éléments clés à connaître avant votre entrevue :

–          Le travail de l’entreprise

–          Les services et produits offerts

–          La stratégie en cours

–          Plans de croissance

–          Principaux compétiteurs

–          Performance financière

–          Les dernières nouvelles

 

Parler de son expérience professionnelle en mécanique

Attendez-vous à ce qu’on vous pose des questions à développement à propos de votre expérience comme mécanicien ou de votre DEP en mécanique automobile.  De cette manière, l’employeur cherchera à en connaître davantage sur votre parcours, professionnel et/ou académique. Sachez mettre l’accent sur les volets ou les expériences qui sont les plus pertinents quant à votre candidature actuelle. Pour ce faire, il faut bien connaître l’entreprise et la description de poste auxquelles vous répondez – tel que mentionné plus haut.

Les employeurs aiment voir des périodes de travail qui s’échelonnent au moins sur trois ans pour chaque entreprise. Si votre parcours ne reflète pas cela, soyez prêt à en expliquer les causes.

 

Démontrer ses connaissances

Une entrevue peut rapidement prendre les allures d’un examen qui évalue ce que vous savez et de quelle façon vous appliqueriez vos connaissances en diverses situations.  Assurez-vous donc de détenir un véritable savoir qui illustre votre formation en mécanique automobile, vos compétences  et votre expérience technique. Certains garages, concessionnaires ou manufactures vous feront passer un  test lors de l’entrevue, par exemple en présentant diverses pièces dont il vous faudra identifier les fonctions.

 

Démontrer ses compétences informatiques

De nos jours, les candidats qui ont suivi un cours de mécanique automobile devraient se préparer à faire ressortir leurs habiletés informatiques. Pour ce faire, vous devriez revoir les divers logiciels avec lesquels vous avez travaillé ou étudié.

 

Demander des questions pertinentes à l’employeur

Vers la fin de l’entrevue, il importe de poser des questions intelligentes à votre potentiel employeur, ainsi vous manifesterez votre intérêt pour le poste en question et cela vous aidera à décider si vous avez le profil de l’emploi ou non. Quelques questions en vrac :

–          Quels systèmes d’information utilisez-vous ?

–          Combien de temps en moyenne gardez-vous vos techniciens à l’emploi ?

–          Quelles opportunités de perfectionnement offre votre entreprise ?

 

Sur ce, nous vous souhaitons la meilleure des chances pour votre entrevue!

Contactez dès aujourd’hui l’École de l’automobile pour plus de renseignements sur les cours de mécanique.

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Quel avenir pour les métiers de l’automobile ?

L’industrie automobile est un des plus importants maillons de l’économie canadienne, elle représente  12 % du PIB de la production manufacturière et est la première source d’exportation du pays.

 

L’industrie automobile se redéfinit

La filière automobile est en train de se redéfinir suite à la crise économique qui l’a durement touchée en 2008. La restructuration des opérations touche surtout le secteur de la fabrication qui doit intégrer les nouvelles technologies, en matière de performance mais aussi d’efficacité énergétique.

Ces changements créent une vraie dynamique dans le milieu, et la demande est croissante en ce qui concerne la conception automobile. Les réflexions des ingénieurs  portent sur l’ensemble de la chaîne : matériaux, moteurs, systèmes embarqués. Tandis que les investissements en recherche et développement cibleront, entre autres, la mécatronique – combinaison de la mécanique, de l’électronique et de l’informatique – les secteurs du commerce et de la maintenance resteront des employeurs sûrs.

 

Les emplois dans le secteur des services automobiles

Le domaine des services automobiles – c’est-à-dire vente, entretien, réparation des véhicules – a un bel avenir devant lui, étant donné qu’au Québec  on compte plus de 1.4 véhicule par habitant.  Le centre d’études sur l’industrie automobile Polk nous apprend aussi que depuis 5 ans, les consommateurs tendent à garder leur voiture plus longtemps. Non seulement ils les gardent plus longtemps, mais celles-ci s’avèrent plus vieilles. Voilà un potentiel important de réparations à faire ! En fait, les gens ne dépensent plus tant sur la nouveauté de l’heure que sur l’entretien de leur voiture.

 

Un milieu en constante évolution

L’étudiant qui suit un DEP en mécanique automobile ne chômera pas. La compétitivité est très forte dans le domaine et l’évolution technologique est quasi  frénétique. Un aspirant mécanicien devra avoir une formation reconnue et une certification pour œuvrer dans l’industrie qui se complexifie de plus en plus. Le taux horaire moyen du mécanicien est de 21$, à raison d’environ 35 000$ par année.

Si l’actualisation des compétences informatiques requiert un effort d’apprentissage de la part du mécano, elle assure un retour sur investissement important en termes de performance, d’économie de temps, voire même d’argent. La qualité du service à la clientèle peut aussi y gagner.

L’école de mécanique automobile doit refléter la réalité du marché. L’intégration de composantes électroniques et informatiques dans les véhicules automobiles, dans les outils de diagnostic et de gestion accélère et rend plus efficace le travail des mécaniciens. En conséquence, les exigences pour accéder à la profession sont plus élevées et les besoins en formation continue se manifestent davantage.

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Les évolutions récentes du métier de mécanicien automobile

Les observateurs du secteur de la mécanique automobile remarquent plusieurs changements récents au niveau de la constitution des véhicules et des services :

–          Les changements techniques : l’électronique embarquée, les systèmes électriques nécessitent l’utilisation de logiciels spécifique pour effectuer un diagnostic. Il devient moins systématique de « mettre les mains dans le cambouis » (mais il faut encore savoir le faire !).

–          Les changements dus à l’environnement : de plus en plus de normes imposent l’utilisation de peintures et de produits d’entretien spécifiques, les véhicules hybrides se développent (même s’ils sont encore largement minoritaires au Québec).

–          Les changements économiques : la crise récente du secteur engendre un essor de métiers tels l’entretien et le recyclage de pièces, par rapport à la vente de vehicules.

 

Les compétences nécessaires à un mécanicien évoluent donc en conséquence. En effet, exercer ce métier signifie effectuer ces tâches diverses :

–          Diagnostic du véhicule, détection des pannes et/ou besoin d’entretien et de réparations

–          Etablissement d’un devis, éventuellement consultation avec le client

–          Réparations et réglages

–          Suivi

 

Tout au long de ces étapes, diverses compétences sont requises. Elles ont évolué. Voici donc quelques uns des critères de recrutement actuels :

–          Maîtrise de l’outil informatique et des logiciels de diagnostic

–          Compétences en relation clientèle et en vente

–          Maîtrise des termes techniques en français comme en anglais

 

Les formations doivent donc s’adapter. Les employeurs aimeraient que les écoles intègrent plus de stages et d’exercices en temps réel, afin que les étudiants soient entraînés à gérer le facteur temps. Ils soulignent également que leurs employés manquent parfois de connaissances des outils de diagnostic. Les DEP en mécanique automobile ne sont donc d’après certaines études pas toujours la panacée.

 

A noter : ces bouleversements n’affectent pas que les mécaniciens. Leurs collègues conseillers techniques et vendeurs doivent également rafraichir leurs compétences. La crise affectant aussi la clientèle, les capacités à gérer les relations avec les clients et à les convaincre deviennent plus précieuses. Ils doivent également être à même de comprendre et expliquer les aspects de plus en plus techniques du processus.

 

Une formation ou une remise à niveau est donc souvent indiquée pour les mécaniciens, et leurs collègues. Pour être pertinente, une école de mécanique automobile doit aujourd’hui offrir des cours avec un volet portant sur l’électrique et l’électronique, des cours de vente et service à la clientèle, des ateliers pratiques et une période de stage. Les professeurs/instructeurs doivent impérativement être des professionnels du secteur, possédant des connaissances à jour. Enfin, l’école doit proposer des équipements reflétant les réalités du secteur, et adapter ses programmes constamment pour qu’ils restent à la pointe.

 

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Féminisation du marché du travail au Québec: une place dans le secteur automobile?

Les femmes représentaient en 2011 47,3% de la population active au Québec, selon les statistiques gouvernementales. Mais elles sont très peu présentes dans les professions techniques, et ce à l’échelle du Canada entier. Est-il possible d’inverser la tendance, et de rendre ces métiers plus attractifs, en particulier dans l’industrie automobile ?

De nombreux secteurs, y compris techniques, vont rencontrer dans les prochaines années une pénurie de main d’œuvre, au Canada et au Québec. Il est donc dans l’intérêt de tous de promouvoir les métiers techniques auprès des femmes, afin qu’elles puissent contribuer à remplacer les baby-boomers. Le problème est que la plupart des professions techniques souffrent encore d’une image très machiste et difficile physiquement. Cela est en particulier vrai pour les métiers de la mécanique automobile. Dans l’industrie automobile, on ne compte que 17% de femmes. Le pourcentage de femmes travaillant dans le secteur de la réparation et de l’entretien chute à 12,5%. Et on estime que la part de mécaniciennes dans ce groupe approcherait plutôt 1%…

Pourtant, certains experts du secteur reconnaissent que la présence de femmes est souvent synonyme d’une amélioration de la qualité du service et de l’environnement de travail. Leur souci du détail est également loué. Toutes ces qualités correspondent à celles nécessaires, selon les employeurs du secteur : pas besoin d’avoir une force impressionnante, en revanche, souci du détail, qualités relationnelles et méticulosité sont recherchées, en plus d’un diplôme d’une école de mécanique automobile. Les difficultés de recrutement s’appliquant à tous les candidats potentiels, et pas seulement aux femmes, les employeurs doivent de toute façon s’engager à prendre des mesures pour attirer et retenir la relève, et ce faisant, faciliter l’accès des femmes à ces métiers. Voici quelques exemples de mesures :

–          Améliorer les conditions de travail

–          Revaloriser les salaires et les avantages sociaux

–          Faciliter la conciliation travail-famille avec des horaires flexibles

Cependant, un des problèmes est que très peu de femmes s’orientent vers des formations en mécanique automobile, étape souvent indispensable pour obtenir un emploi qualifié.

Si la plupart des formations sont longues et chronophages, certaines permettent d’acquérir des connaissances de base et une expérience concrète rapidement, pour des frais raisonnables. De plus, il est possible de commencer tout au long de l’année et de bénéficier d’horaires adaptés. Une formation de mécanique automobile pertinente devra mettre l’accent sur les relations avec la clientèle et la maîtrise des logiciels utilisés dans les entreprises de l’industrie automobile. Ce sont en effet des lacunes souvent constatées et déplorées par les employeurs.

A l’issue d’une formation de ce type, les femmes ne devraient pas avoir de problème pour trouver un emploi rapidement. En effet, de plus en plus d’employeurs plébiscitent le recrutement de femmes au sein de leurs équipes. Il leur faudra juste être vigilantes lors de leurs démarches de recherches d’emploi et s’assurer que leur employeur potentiel est bien ouvert sur ce sujet, et saura faciliter leur intégration.

 

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Développement et durable et industrie automobile au Québec: changements à venir

L’industrie automobile est particulièrement développée en Amérique du Nord, et le Québec ne fait pas exception. Cela pose des problèmes environnementaux et de santé publique, auxquels le gouvernement souhaite remédier dans les prochaines années. L’objectif au Québec est de réduire les émissions de gaz à effets de serre de 20% d’ici 2020, par rapport au niveau de 1990. Or, 43% de ces émissions sont générés par le secteur des transports, au sens large.

 

Cela semble logique lorsque l’on considère par exemple que le parc automobile a augmenté de 2% par an entre les années 60 et le début des années 2000, alors que la population augmentait de 1% par an. En 2011, le nombre de véhicules en circulation atteignait presque la barre des 6 millions. Or, la plupart de ces vehicules consomment beaucoup et ne sont pas nécessairement bien entretenus. C’est pour cela que le gouvernement du Québec souhaite mettre en place, d’ici la fin de 2013, un Programme d’Inspection et d’Entretien des Vehicules Automobiles (PIEVA). Cela aura donc un impact sur le secteur de la mécanique automobile, autant en termes d’inspection et d’analyse que de réparations et d’entretien.

 

Concrètement, il s’agit de rendre obligatoire l’inspection des véhicules légers de plus de 8 ans qui font l’objet d’une vente par leur propriétaire. Ces véhicules devront répondre à des critères environnementaux en cours d’élaboration. S’ils n’y répondent pas, ils devront être réparés avant de pourvoir faire l’objet d’une vente. Bien sûr, ce seront des professionnels du secteur qui seront en charge de cette inspection et des réparations éventuelles. Un réseau de garages accrédités sera constitué au cours de l’année 2013, sur la base de candidatures volontaires des garages. Les mécaniciens ayant suivi une formation en mécanique automobile comportant un volet anti-pollution seront donc certainement avantagés !

 

L’industrie automobile s’efforce d’intégrer de plus en plus de mesures en faveur de l’environnement : véhicules à moindre consommation, hybrides, etc. Si une carrière en mécanique automobile vous attire, mais que vous êtes en même temps soucieux de l’environnement, le moment est donc venu de vous lancer.

 

Afin de mettre toutes les chances de votre côté, certains critères seront à considérer au moment de choisir votre  école de mécanique automobile. Un bon choix prend :

–          Un cours sur les systèmes anti-pollution

–          Un cours sur les systèmes électriques et électroniques

–          Une formation sur le service a la clientèle

 

La mise en place du PIEVA peut être une belle opportunité de sortir du lot pour un garage existant, ou si vous souhaitez créer votre propre entreprise.

 

Malgré les efforts des gouvernements et des associations, l’automobile reste un des moyens de transport les plus utilisés au Québec. L’objectif porte donc plus sur un meilleur entretien des véhicules, et sur une évolution progressive des automobiles elles-mêmes. Ainsi, une carrière dans la mécanique automobile, même si ce n’est pas au sein d’un garage accrédité, reste un bon choix de carrière. Et les bases que vous aurez acquises en électrique/électronique et en systèmes anti-pollution vous serviront de plus en plus !

 

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Comment fidéliser la clientèle dans le secteur des services automobiles?

Selon une étude effectuée par J.D Power and Associates sur l’indice de fidélité des clients canadiens (2011), les automobilistes visitent moins souvent les ateliers de mécanique et y dépenseraient moins.  En raison de la conjoncture économique ou de la fiabilité croissante des voitures ? Un peu des deux probablement.

Toutefois, depuis 5 ans, on remarque que les gens conservent leur véhicule plus longtemps et que celui-ci est généralement plus vieux.  Cette tendance représente un important potentiel d’entretien et de réparations à faire. Il s’agit pour le concessionnaire ou l’atelier indépendant de faire en sorte que le client revienne !

Alors que le service à la clientèle des concessionnaires est compétent dans un plus grand nombre de domaines, les magasins spécialisés, en changement d’huile par exemple, l’emportent quant à la satisfaction du client :

«Les établissements du marché secondaire semblent battre les concessionnaires à leur propre jeu, affirme Ryan Robinson, chef du secteur automobile canadien, J.D. Power and Associates. Les taux de fidélisation des clients sont nettement plus élevés – 9% de plus en moyenne – parmi les personnes qui ont recours à des ateliers de mécanique. Compte tenu de tous les véhicules actuellement sur la route, ce 9% représente une part de marché de 700 millions de dollars, ajoute Robinson. »

L’étude a  évalué les comportements à l’égard du service, le degré de satisfaction et la fidélité des propriétaires dont les véhicules ont entre 4 et 12 ans, donc hors-garantie.

La satisfaction globale est mesurée en fonction de cinq facteurs : services précédant les travaux, compétence du conseiller, installations, qualité du service et prise en charge du véhicule. De fait, la compétence de l’aviseur technique parle pour toute la compagnie. Il est en première ligne de service et la qualité de son travail jouera beaucoup sur le degré de satisfaction du client.

La tâche de celui qui a suivi son cours d’aviseur technique est plus ardue chez un concessionnaire, puisque celui-ci a tendance à regrouper plusieurs services en une même visite. Aussi doit-il persuader son client du travail nécessaire à effectuer, sans mettre en péril satisfaction et loyauté. Si l’aviseur informe et même « éduque » le client en matière de mécanique, ce dernier n’aura plus cette impression qu’il y a abus au niveau de la facturation.

Le premier critère reconnu par le consommateur est un sentiment d’honnêteté. Si vous ne donnez pas le choix au client et si la communication n’est pas évidente, cette impression d’honnêteté ne se manifestera pas.

De même pour l’estimateur en dommages automobiles, quoique son travail soit facilité par des logiciels très efficaces, conçus pour estimer le coût des réparations ou du remplacement de pièces endommagées. À l’aide de cet outil, l’estimateur peut établir un rapport détaillé des opérations à faire pour le concessionnaire, l’assurance, et bien sûr pour le client !

Bref, qu’il s’agisse d’assurer le conseil ou l’estimation de dommages automobiles, les professionnels de l’industrie doivent supporter le client dans les choix proposés pour réparer le véhicule – de sorte à établir un lien de confiance et une certaine loyauté avec leur clientèle.

Contactez l’École de l’automobile dès aujourd’hui pour avoir plus de détails sur la formation d’aviseur technique ou d’estimateur en dommages automobiles.

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